Chers amis et chers lecteurs,
Au début du mois, j'avais entamé une réflexion sur ce qui peut booster les sportifs que nous sommes.
Je m'apprêtais à poursuivre en indiquant combien la perspective de la Finish Line permettait de repousser nos limites. Dans le "long", on les appelle "finishers". Et je connais peu de triathlètes et de trailers indifférents à ce titre, comme à ce franchissement symbolique. Elle permet aussi cet impensable sprint de mon petit frère, Benjamin, à la fin des 10 km du Havre. Le pari de ceux qui se disent : "pourquoi pas moi, avec mes kilos de trop et toutes ces clopes ?". A 250 mètres de l'arrivée, il a vu les parents et la ligne ...
Une belle illustration de l'influence de la Finish Line et du cocktail d'hormones qui l'accompagnent. Mais pas aussi forte que ce moment qui restera, à jamais, gravé dans nos mémoires.
L'approche de Noël m'invite à vous livrer, plus rapidement que prévu, ce qui marche le mieux chez moi. Il n'y a qu'à regarder cette photo, me souvenir de leurs encouragements à chaque fois que je les ai croisées à Vichy ; mais aussi de tout le reste ... Juste à envisager ce qu'il y a de plus puissant dans la nature humaine : la paternité. Avec elles, je soulève allègrement ce "foutu rocher"*, et même des montagnes.
Je vous souhaite donc autant de bonheur que j'en ai et un joyeux Noël !
Etienne
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* Profitez d'une soirée au coin du feux pour savourer cet article : vous (me) comprendrez mieux !
Elles ont aussi une chance énorme d'avoir un Papa tel que toi. Bonnes fêtes en famille.
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